GRAND FORMAT. Avec les Berbères du Haut Atlas marocain
Avec son travail sur les Amazighs du Maroc, exposé au festival de photo Visa pour l’image à Perpignan, Ferhat Bouda cherche à lutter contre l’oubli d’une minorité indépendante souvent opprimée, voire persécutée par les pays nord-africains.
« Notre montre, c’est le soleil, le beau et le mauvais temps », dit cette jeune femme qui récolte du maïs pour ses animaux à Tinfgam, village situé à près de 2.000 mètres d’altitude dans le Haut Atlas marocain. (Ferhat Bouda / Agence Vu’)
À Tinfgam, les maisons sont aménagées directement dans les grottes. Elles sont aussi parfois faites de pierre et de terre cuite. (Ferhat Bouda / Agence Vu’)
![Aucune infrastructure n’est mise en place pour assurer la santé ou l’éducation des villageois. Il n’y a ni dispensaire, ni école, ni électricité.](http://referentiel.nouvelobs.com/file/rw966/16236576.jpg)
Retour du marché d’Alemdoun. Même si leurs conditions de vie sont difficiles, les Berbères luttent au quotidien pour préserver leur identité, leur culture, leur langue. (Ferhat Bouda / Agence Vu’)
Oubliés des autorités mais attachés à leur indépendance, les Berbères vivent du travail des champs et de l’élevage des chèvres. (Ferhat Bouda / Agence Vu’)
![Pour cette jeune fille, c'est l'heure de la corvée d'eau.](http://referentiel.nouvelobs.com/file/rw966/16236582.jpg)
![Pendant la saison des moissons à Timetda, les femmes travaillent dans les champs, les hommes étant souvent partis cultiver d’autres terres.](http://referentiel.nouvelobs.com/file/rw966/16236584.jpg)
![Mohamed est semi-nomade. Grâce à sa connaissance profonde de l’environnement et son savoir-faire, sa famille vit de manière autosuffisante.](http://referentiel.nouvelobs.com/file/rw966/16236586.jpg)
Mohamed est semi-nomade. Grâce à sa connaissance profonde de l’environnement et son savoir-faire, sa famille vit de manière autosuffisante. (Ferhat Bouda / Agence Vu’)